- Espagne
- Edouard Mesnildrey
Le Real Madrid, champion d'Europe en titre, n'aura pas connu une période de troubles bien longue. La bombe Zidane digérée, les dirigeants merengue se sont affairés à trouver le nouvel homme fort de la Maison Blanche, histoire de s'éviter un été aux allures catastrophiques. L'avenir de certains cadres - qui a dit Ronaldo ? - étant lié à l'identité du nouvel entraineur, Florentino Pérez se devait d'agir vite.
Moins de deux semaines après la décision de Zizou, le Real Madrid annonçait hier la signature de l'actuel sélectionneur de la Roja, Julen Lopetegui, à la tête de l'institution madrilène après la Coupe du monde en Russie. Un timing qui interroge et qui a provoqué la colère de la fédération espagnole, qui aurait même songé à le limoger dans la foulée avant de se reprendre pour ne pas céder à une décision impulsive.
On peut cependant s'interroger sur la sérénité qui entoure l'équipe espagnole à deux jours d'affronter son voisin portugais dans le groupe B pour lancer son Mondial 2018, celui où elle devait se faire pardonner d'une aventure brésilienne honteuse et d'un Euro 2016 raté.
Une conférence de presse a été convoquée, plus d'informations à suivre sur coupedumonde2018.net !
???? ¡Bienvenido, @julenlopetegui!#WelcomeLopetegui | #RealMadrid pic.twitter.com/i2efGU0JI3
— #CHAMP13NS ?????? (@realmadrid) 12 juin 2018